Vlaams Nederlands Huis deBuren

‘Nocturne littéraire Bernard Van Orley’

15 Mai'19
- 20:00

Des écrivains vous guident dans l'expo

Avec: Ubah Cristina Ali Farah, Myriam Leroy, Jeroen Olyslaegers, Vamba Sherif, Max Urai

Des auteurs nouent un dialogue avec les œuvres de Bernard van Orley. Ils regardent les personnages représentés droit dans les yeux et donnent libre cours à leur expression. Durant cette soirée, laissez-vous guider par ces textes et profitez d’une nocturne exclusive.

Ubah Cristina Ali Farah est une écrivaine somali-italienne qui habite à Bruxelles. Elle a remporté le prix national Lingua Madre en 2006. Son roman Madre piccola (2007) a reçu le prestigieux prix Vittorini et a été traduit en néerlandais et en anglais. Actuellement, elle écrit le livret d’un opéra communautaire intitulé Silent City, à partir d’histoires glanées à Matera (capitale européenne de la culture 2019).
Myriam Leroy (1982) est une autrice belge francophone qui habite à Bruxelles. Elle est journaliste, autrice de théâtre et romancière. Sa première pièce, Cherche L'Amour, créée au théâtre de la Toison d'Or, lui a valu le prix de la meilleure autrice aux Prix de la critique 2017. Son premier roman, Ariane (Editions Don Quichotte), a terminé deuxième du Prix Goncourt du premier roman, en 2018. Elle parle dans un micro sur La Première (RTBF), dans l'émission culturelle Entrez sans frapper.
Jeroen Olyslaegers (1967) vit et travaille à Anvers. Chroniqueur, il écrit aussi des pièces de théâtre et de la prose. Son roman WIL (2016) a été couronné par de nombreux prix littéraires et a été traduit dans sept langues. En 2014, il a reçu le prix Ark de la Libre Parole (« Arkprijs van het Vrije Woord »), qui récompense son œuvre et son engagement social.
Vamba Sherif (1973) est né au Liberia et a vécu une partie de son enfance au Koweït et en Syrie. Il a écrit plusieurs romans, parmi lesquels The Black Napoleon, The Kingdom of Sebah et The Land of my Fathers. Ses romans sont parus en anglais, en français, en allemand et en espagnol, entre autres. Il a aussi participé au recueil Zwart. Afro-Europese literatuur uit de Lage Landen (Noir. Littérature afro-européen de la Flandre et des de Pays-Bas).
Max Urai (1991) vit et travaille à Leiden. Outre la publication d’essais et de fictions, il s’occupe des programmes de la Fondation Perdu, la maison de la poésie amstellodamoise, est l’un des rédacteurs de Tijdschrift Ei, rédige des critiques pour De Reactor et prend le temps de réfléchir.

Informations pratiques

Lieu

Salles d’exposition

Langue

  • Anglais Français Néerlandais